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  • Après la Concertation, de Port-Coupvray , une nouvelle Concertation?

    Est-ce le confinement "allégé"   ou la trêve des confiseurs qui marquera cette fin d'année?

     

    Comment la transition 2020 - 2021  sera traduite dans une cérémonie des vœux problématique pour le maire de Coupvray. 

    En attente d'un avis d'importance de la CNDP (commission du Débat Public).

    Réclamée par le maire de Coupvray au nom de la transparence, la surveillance de cette concertation fera l'objet d'un rapport et conduira à un avis sur le ressenti de cette transparence.

    Pour la suite avec l'exemple des glissements (non de boue comme on les trouve actuellement dans les chantiers alors qu'il n'y a pas encore de pluies) mais dans l'avancement d'autres concertations, la 3eme tentative de Roissy-en brie est un bon modèle et pour le moins des  débats  dématérialisés mieux encadrés que le notre existent.

     

    Le délai devrait permettre des approfondissements de réflexion, et le rassemblement des forces pour le début d'année. 

    Mais déjà il serait délicat de confirmer un démarrage possible avant 2022.

    L'assurance des porteurs du projet pendant la conférence en live Facebook le 6 novembre. Sans respect planifié des avis des habitants qui confirme les affirmations erronées reprises par la journaliste du Parisien. Ravie du cocktail servi aux vœux de 2017, elle ne pouvait toutefois retenir quelques étonnements en tournant les pages du dossier de presse enchanteur qui a du lui être remis. La relecture de l'article est un triste témoignage de la nécessaire humilité.

     

    Janvier 2017, novembre 2020 qu'y a t-il de changé?  A consulter sur le site en ligne du Parisien  après capture 1ere publication, commentée en fin d'article précédent   Le Parisien janvier 2016 surligné.pdf

     

    Ajout du 14 décembre 2020:   Qui prendra la main?      Faut-il appeler les télévision, faire une pétition, sacrifier nos données personnelles sur l'hôtel de Facebook? La contestation certains l'auraient-ils oubliés? N'est-ce pas "Coupvray Demain"? Les nouveaux habitants que viennent-ils chercher ? Si c'est à la ville à la campagne, ne croient ils pas que ce ne sera bientôt plus que le lait renversé?   
     

     

  • 1er novembre à Coupvray

    Malgré la mainmise de la culture commerciale américaine sur les animations de notre époque, quelques Français profitent de ce jour férié pour se recueillir sur les tombes de leurs parents décédés.

    Les vacances de l'automne, on hésite à les appeler de la Toussaint, sont pour les enfants celles d'Halloween, leur explique-t-on encore que c'est une fête religieuse ?

    mémoire,souvenir,halloweenS'intéresseront-ils à leurs ancêtres, auront-ils une pensée autre que la récolte de bonbons ou le déguisement en sorcières ?
    Les citrouilles et les "Kinder-surprise" sont-ils les nouveaux objets du culte, les chauves-souris les nouvelles images pieuses ?

    kinder halloween disney.JPG


    kinder halloween.JPGLe récréatif est davantage porteur pour les ventes, et les messages publicitaires d'Haribo ou Kinder plus expressifs, même que les images de revenants imaginées par Mikael Jackson dans Thriller.

    thriller.JPG

     

     

    Visiter l'ancien cimetière de Coupvray, laisse toutefois une impression de traverser une scène de guerre. Circuler dans les allées enherbées, c'est aussi traverser les ornières laissées par les engins qui ont servi l'enlèvement des stèles délaissées.

    Explications :  Après la campagne de "reprise des tombes concédées" de 2018, celles qui n'ont pas été réclamées sont remises dans le lot des concessions disponibles. Cette campagne qui concernait les tombes non entretenues, certaines en concession perpétuelles, fut complétée en octobre  2022 par un avis de récupération des concessions plus récentes, encore en état, mais non renouvelées (les trentenaires en particulier dépassées de plus de deux ans). (L'application des échéances de 20 ans ont dû poser problèmes).

    Ainsi, la commune se trouve à devoir libérer les emplacements concédés : transférer les corps en fosse commune, désacraliser et évacuer le monument. Cette tâche fut certainement dévolue à des entreprises de pompes funèbres, et pour rémunérer cette mission, celles-ci ont dû "racheter" les dalles funéraires plus recyclables sur des concessions plus récentes.

    Nous ne pouvons que constater le résultat : ces tombes "béantes", les allées dégradées par les roues des engins, le gravier glaiseux qui colle aux chaussures et le triste état d'ensemble.

     

    On peut aussi relier cet objectif de rentabilité, à la modification du règlement votée récemment (26 juin 2023) en Conseil (sans que ce règlement soit joint au Compte-Rendu, et introuvable sur le site municipal) mais surtout  avec les nouveaux tarifs de concession, prenant bien en compte la possibilité de "revendre le caveau" d'une concession recyclée.

    Le court reportage sur le recyclage des dalles funéraires de télématin (séquence info 7 h 45) de ce 1ᵉʳ novembre le confirme : mais chez nous est-ce un don des familles, des dalles pour les indigents, ou une opération de rentabilisation ?  De ce côté la mairie se fait bien discrète et nous ne trouvons pas d'information dans les publications municipales.

    A jeudi ! Jour des morts.

    Ajout du 16 novembre 2023 :   Non, le dépôt de bouquets sur les tombes des anciens combattants, sur la modeste stèle de Louis Braille sauvée par Jean Roblin, n'ont pas été l'occasion de nettoyer les allées du cimetière, ratisser le gravier. Nous en faisons le constat et tristement particulièrement autour de la sépulture des Roblin.

    mémoire,souvenir,halloween

    Quant au nouveau règlement, s'il ne figure pas sur le site municipal, ni en annexe du PV du Conseil municipal où il fut validé par les conseillers, il est affiché au dos du panneau d'information du cimetière, dommage que la vitre n'ait pas été lavée pour en permettre la lecture !

    mémoire,souvenir,halloween

     

    Ni dans les publications municipales, du site inutile de la commune.

  • Et on passe au rouge

    Le Coronavirus continue à déstabiliser les actions politiques.

     

    Mal invisible, qui peut dire j'y échappe? Donc la prudence impose la seule précaution disponible: le masque.

     

    L'île de France de nouveau placée en zone rouge - Seine-et-Marne comprise, entraîne une règlementation stricte: et jeudi le préfet à décidé l'obligation de port du masque autour des gares à partir du samedi 29 Août (dans un environnement de 50m), dans et devant les écoles à partir du 1er septembre. Le non respect de cette obligation prévue pour un mois entraîne un risque de verbalisation et le paiement d'une contravention de 135€.

    Le non respect fait aussi prendre un risque de réception et de transmission du virus, comme on le constate par l'augmentation des cas détectés lors des tests PCR. Bien entendu les gestes barrières, la distanciation physique (1m en France, 2 m en Allemagne!) les mesures d'hygiène lavage des mains, usage du gel hydroalcoolique si besoin sont complémentaires.

     

    Notre secteur, est particulièrement ciblé. Le trafic généré par le "hub" TGV de Chessy, le terminus du RER A, les gares tant de la SNCF sur la ligne Paris-Meaux que du réseau bus drainent des voyageurs locaux mais aussi internationaux attirés par la zone touristique. Après le terrorisme qui perdure et le plan vigi-pirate, les stationnements toujours restreints dans ces zones de proximité (gares, écoles) ce sont des zones qui ne doivent pas échapper aux surveillances caméra assistées. Pensons-y. 

    Message sur FaceBook Préfecture, le lien direct ici.

    covid19,pandémie

    Information d'actualité bien chargée, il y en a pour chaque ville et des généralités, un peu long comme message.  (Portez-le tout le temps quand vous vous déplacez, puisqu'une fois mis il ne faut plus le toucher !!!)

    N'étant ici ni scientifique, ni voyant, nous ne pouvons que constater que personne ne peut définir une politique sanitaire fiable. 

    • Bien porter son masque, en changer, le laver, ne pas le toucher?
    • Les tests? pour quoi? savoir si on peut infecter d'autres? si on a un doute il faut s'isoler.
    • Si on est testé négatif un jour, ce peut être une erreur, ou testé trop tôt!
    • Protégé si on a été infecté? mais on ne sait combien de temps!
    • On attend un vaccin?
      • On croit au progrès,
      • faudra-t-il encore en produire suffisamment
      • sera t-il annuel comme celui de la grippe?
      • est-ce que suffisamment de gens se feront vacciner?

    Donc le temps des précautions et des visages masqués risque de durer de nombreux mois, peut-être années avant que les échanges reprennent et permettent une remontée de la fréquentation touristique. La crise économique sera donc à subir sur une période qui dépassera ce que nous avions imaginé, à moins d'une auto-disparition de ce virus comme ce fut le cas en 2003 du SRAS.

     

    Ajout du 7 Septembre 2020: Sans aucun rapport avec les sujet, sauf  la référence au masque, écouté (ou réécouter) le reportage sur la dérive de la vidéosurveillance qui s'annonce. Pouvons-nous dans nos communes circuler sans être en permanence suivis, où? Par qui?    et surtout pourquoi?  Un sale impression de perte de liberté.

    Ajout du 7 Septembre 2020: Les Préfets invités par une décision en référé du Conseil d’État, à revoir leurs arrêtés trop généraux et jugés liberticides, sur le port du masque en extérieur. C'est clair?

     

    Ajout du 15 Octobre 2020: Covid-19 deuxième vague. Paroles hier du Président Emmanuel Macron, explications cet-après midi du Premier ministre Jean Castex "le maitre du déconfinement"  et précision du Préfet de Seine-et-Marne, Thierry Coudert: c'est valable pour notre département dès demain soir.

    covid19,pandémie,contagion

    Les déplacements indispensables sont à justifier par une attestation comme à la période du confinement de Mars Avril. Les administrations doivent mettre en place des solutions de télétravail.  Qu'on se le dise, sinon 135€ à partir de vendredi soir, ne loupez pas vos correspondances.

     

    On a largement dépassé le rouge!

     

  • Etat d'urgence ou voile de silence.

    Il est surprenant que par souci de "transparence" on se trouve subitement sur Coupvray (et sur VEA où le maire de Coupvray prend de l'importance grâce à son attitude de sacrifice par l'urbanisation de sa commune) sous une avalanche de consultations de la population.

    Si en mars le président de la République a annoncé le confinement, il n'a pas souhaité remettre à plus tard les élections avec l'abstention que l'on connait et les décalages de décisions, mais les circonstances n'ont pas inspiré les élus du Val d'Europe à l'adoption de mesures de précaution et ralentir leur avancement de projets dans l'ignorance de l'avenir.

     

    On constate qu'une "concertation" est lancée avec des conditions particulières, où les débats entre citoyens ne seront pas possibles, que les esprits sont concentrés sur bien d'autres problèmes, et que sous prétexte de sécurité la Démocratie se retrouve menacée. L'annonce par la préfecture (jusqu'ici discrète) d'une double enquête sur une extension du Compost que n'arrive pas à maitriser la commune, rejoint (elle s’insère en 15 jours) dans la concertation. 

    enquette 1 compostage.txt    enquette 2 bois.txt

     

    Si le texte sur la situation d'urgence et les Ordonnances permet certaines libéralités encore faudrait-il en justifier l'usage.

    Titre de la Gazette en mars:

    L’article 12 de l’ordonnance n° 2020-306 du 25 mars 2020 relative à la prorogation des délais échus pendant la période d’urgence sanitaire et à l’adaptation des procédures pendant cette même période revient sur les modalités des enquêtes publiques en cette période d’urgence sanitaire. Laura Picavez, avocate au sein du cabinet Gossement avocats, décrypte cet article.

    et en exergue:

    Aux termes du rapport au Président de la République relatif à l’ordonnance n° 2020-306, l’article 12 de cette dernière aménage les procédures d’enquête publique « relatives à des projets présentant tout à la fois un intérêt national et un caractère d’urgence ».

     

    Nous pouvons nous interroger sur le caractère d'urgence pour bâcler une procédure précipitée en court-circuitant les modifications du PLUI qui auraient du intervenir avant même le lancement des études de possibilité du projet pour le port entamant une zone naturelle protégée, des conflits sur les nuisances de la  compostière constatées par les habitants tant à Coupvray, Chalifert ou Chessy avec les zones artisanales en devenir à proximité (Zac de la Dhuis à Coupvray, ZAC St Eloi à Chalifert).

     

    Une telle période devrait "arrêter le temps", suspendre tout ce qui n'est pas vraiment urgent et nécessaire. Nos incertitudes sur une date de retour à la normale, sur les retombées en matière de moyens financiers et des capacités d'adaptation ou de départ des habitants concernés, devraient l'emporter sur toute tendance narcissique des élus à réussir un "grand œuvre".

    D'ailleurs pour preuve, dans l'autre sens, la même législation d'exception permet de ne plus respecter les délais de tacite acceptation des dossiers d'urbanisme. ("Le gouvernement a publié une ordonnance suspendant notamment le principe du silence vaut acceptation. Maîtres Mona Rousseau et Arthur Gayet, du cabinet Seban et associés, reviennent sur le cas des demandes d'autorisation d'urbanisme. présentation dans la Gazette.fr)

    Ajout 17 Octobre à 00h00:      On constate que la non écoute des citoyens se traduit par l'arbitraire des "gouvernants". Quelles réunions d'information et de débats ont été organisées par les élus de Coupvray depuis 2014?  Quelles décisions "unilatérales" ont été prises par la municipalité? Télésurveillance, Nouveaux urbanismes, projets du parc du Château, ici du Port de Plaisance et d'une zone commerciale dédiée au tourisme, ... On ne s’étonnera pas que les habitants boudent les élections (on ne désigne pas son tyran), et la parole reviendra alors aux Gilets-jaune ou aux activistes de ZAD. 

  • Nos voisins du Pays Créçois

    L'information d'extension de l'intercommunalité (*) du Pays de Meaux ne pouvait qu'attirer notre attention sur la Communauté de Communes d'origine : le Pays Créçois. Après le départ de Montry, Esbly et St Germain pour Val d'Europe, les trois communes de St Fiacre, Boutigny et Villemareuil ont donc également quitté leurs compagnes rassemblées autour de Crécy et Couilly-Pont-aux Dames.

     

     

    C'est donc naturellement que nous avons consulté les Conseils Communautaires du Pays Créçois pour tenter de connaitre les discussions et les dates de choix, il sera compliqué d'y comprendre quelque chose puisque l'essentiel des délibérations des conseils communautaires d'une assemblée des 19 communes d'Octobre 2018 à mars, est consacré à l'enregistrement des changements de délégués dus aux élections communales.  Il faut bien l'admettre une gestion de communes et délégués de plus en plus nombreux est de plus en plus complexe. Le compte rendu du Conseil du 13 mars diffusé dès le 21 mars ne fait qu'établir la répartition des membres dans les différentes commissions, hormis une délibération sur le SCOT qui devient obsolète qu'en on apprend les votes de conseillers (une vingtaine sur cinquante) qui ne siègeront plus ensemble dans neuf mois.

    Que restera-t-il de l'avenir du Pays Créçois, au temps des regroupements imposés en intercommunalité, quel argent dépensé en études, audit, indemnités de fonction des présidents et vice-présidents de ces groupements de communes qui sont de moins en moins représentées par des citoyens "ordinaires" mais par des "semi-professionnels" de la politique locale retraités ou sans emplois pour être disponibles dans des réunions de plus en plus fermées car éloignées, davantage entre les mains des fonctionnaires omniprésents puisque les réunions des commissions et des comités entre de plus en plus de membres sont difficilement gérable par des élus. Entre bureaux d'études et renforcement des emplois de communicants, les budgets des intercommunalités et des communes ne font que croître.

    Pour ce qui concerne l'étude des désirs des habitants, la motivation des délégués et les dates des choix, rien ne transparaît dans les documents ou articles en ligne, ni sur les sites des groupements ni sur les sites des communes. C'est à peine si des recherches dans les journaux ne signalent des décisions ou des votes.

     

    Par contre le seul message passé par le maire de Meaux pour ce qui concerne la communauté d'agglomération meldoise signifie qu'il n'y aura rien de décisif dans les décisions à prendre de maintenant (en attendant les délégués communaux) puis du 1er janvier 2020 avec leur entrée, puis la désignation des nouveaux élus issus des élections communales (et donc des délégués) en mai-juin 2020, soit une année de "roue-libre" en gestion des affaires courantes, situation qui devrait être identique dans la communauté d'agglomération du Val d'Europe si "l'esprit démocratique" est le même. 

    * La CA Pays de Meaux (55 000 habitants) comptait 44 délégués en 2017 dont 31 pour la ville de Meaux.

    La CC Pays Créçois (36 000 habitants) comptait 49 délégués en 2018.

    Ajout du 5 avril 2019:   La fin de la CC du Pays-Créçois est bien envisagée. Les ralliements aux autres EPCI est engagée, comme l'explique ici le maire de Coutevroult. qui a choisi Coulommiers et les appels du député maintenant ministre Frank Riester.  Explication page 4 de la Lettre du Pays Créçois de mars-avril-mai.