Une information au fil de l'été, sur le site de la CA Val d'Europe.
Par publication du 13 juillet 2023, le VEA nous apprend que chargé de remords après les demandes accordées par la préfecture des chantiers d’aménagement du réseau pluvial pour les 20 prochaines années, il est lancé une étude sur les risques d'inondations dans les zones urbaines du secteur.
C'est pourtant l'étude d'impact générale qui manque et que nos associations réclament depuis de nombreuses années.
Diagnostic territorial de vulnérabilité aux inondations
Vers une plus grande résilience du territoire de Val d’Europe Agglomération aux risques d’inondations
Vers une plus grande résilience du territoire de Val d’Europe Agglomération aux risques d’inondations
Débordements de la Marne et du Grand Morin, ruissellements en cas d’orages, remontée de nappes, les origines des inondations susceptibles d’affecter le territoire sont multiples. Et le changement climatique ne sera pas sans impact sur ces événements exceptionnels. Véritable enjeu pour le territoire, identifié dans le Plan Climat Air Energie Territorial de Val d’Europe Agglomération (PCAET) approuvé le 7 juillet 2022, l’impact des inondations sur les habitants, les biens et les services, est pourtant encore mal connu.
Aussi, Val d’Europe Agglomération a souhaité engager, avec l’ensemble de ses partenaires, l’élaboration d’un diagnostic de vulnérabilité territorial aux risques d’inondations.
Ses objectifs ? Améliorer la connaissance des risques, définir une stratégie et des priorités d’actions, mobiliser les acteurs pour améliorer, ensemble, la résilience du territoire.
Ce projet, dont le montant est estimé à 76 700 € HT, bénéficie d’un concours financier de l’État à hauteur de 20 % (15 340 € HT), à travers le fonds d’accélération de la transition écologique dans les territoires, aussi appelé « Fonds vert ». Une demande de subvention a également été adressée au Département de Seine-et-Marne, qui pourrait participer au projet, à hauteur de 20 %, au titre de sa politique en faveur des milieux aquatiques et de la gestion du risque inondation.
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Fallait-il donc attendre les subventions, alors que la loi européenne n'est pas respectée ?
Ce sont aussi les constructions sur les hauteurs qui engendrent les descentes d'eau de pluie sur les niveaux bâtis existants. Les chaines de bassins qui mènent ces eaux vers la marne sur un schéma des années 80, même l'enquête récente sur le nouveau bassin de la ZEC ou des perspectives d'urbanisation autour du projet de port dans la zone humide comme le souligne la MRAE dans son rapport.
Sur l'utilisation du Fonds-vert la commune de Coupvray prévoit de financer une passerelle 'touristique" est-ce bien en rapport ?
Commentaires
Et les actions pour la chaleur ? On en parle ?
Pourquoi aussi fait-il plus chaud dans nos villes ? Parce que sous l’effet de la gentrification, beaucoup d’arbres sont coupés et remplacés par du béton. Bien sûr, on nous vante des politiques avec « des parcs et des jardins » : tout est net, rien ne dépasse, mais les arbres sont comme dans un zoo, bien étiquetés, proprement coupés, ne jouant plus leur rôle de poumon. Et pour nous vendre le tout : des zones à faible émission, réservées à ceux qui peuvent s’offrir des véhicules à 50.000 euros. C’est grotesque.
Le plus triste, c'est quand un espace "sauvage" classé EBC est transformé en parc urbain avec circulations, jeux d'enfants même sous prétexte de naturel en plantant quelques arbres fruitiers.