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confinement

  • Déconfinez-moi

    Entrés sur la pointe des pieds dans le "confinement", mais poussés par l'urgence et la direction du modèle chinois, les Français le respectent difficilement mais guettent la fin du tunnel. 

     

    C'est en ignorance de tout, ou presque que le gouvernement nous a plongé la tête dans le sable.
    Précautions non prises avant, surveillance policière pendant, solutions de sortie non envisagées.
    En résumé voilà les caractéristiques de ce que nous vivons.

     

    Pourtant depuis le début j'ai un refrain en tête, "Déconfinez-moi" sur l'air de "Déshabillez-moi" Juliette Greco.

     

     

    COVID-19 Générateur d'attestation de déplacement dérogatoire

    I

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  • Pandémie de printemps

    Confinement oblige, les réunions de préaux qui auraient pu occuper la semaine ont manqué, le déplacement aux urnes de ce jour si un deuxième tour n'avait pas été repoussé annulé, il faut bien nous occuper.

    Il y a donc urgence à ne pas profiter de ces obligations d'isolement pour s'échapper, mais rester enfermés pour tous ceux qui ne sont pas indispensables à la survie du pays.

     

    Gloire aux forces vives qui prodiguent soins et soulagements, gloire aux forces de l'ordre qui s'efforcent de faire respecter les consignes sans protections, afin de ne pas effrayer! Gloire et primes à tous les serviteurs du minimum de la chaine alimentaire et sanitaire.

    Mais honte aux profiteurs. Les exploiteurs comme les sites de ventes par correspondance qui ont au maximum profité de la concurrence mondiale entre import bas prix et optimisation fiscale, les stockeurs de produits dont le prix de vente a suivi la courbe exponentielle des victimes.

    Honte aux citoyens qui ont pris ces jours d'immobilisation pour des vacances, sans comprendre la gêne provoquée face à la situation des mobilisés.

     

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  • Les indices du matin

    Nous sommes en guerre.  

     

    Des mesures retenues des crises passées sont progressivement mises en place.

     

    Toutes ne sont pas unanimement comprises, mais l'ennemi étant invisible, observer les combattants de nos postes de confinés, revient à assister aux bravades de Don Quichotte sur nos écrans vidéo.

    OK, nous n'avions pas construit de ligne Maginot. Mais employons les mots de Clemenceau comme en 14 "Union Sacrée", pas l'article 16 de la Constitution qu'aurait saisi le Général. Pas la décision d'anticiper en sonnant la charge qui était le stratégie napoléonienne. Non la tactique du "en même temps" "gardez-vous à gauche, gardez vous à droite" du gamin de 14 ans contre les Anglais.

    Donc quelques jours d'hésitation, fermer les écoles mais ne pas repousser les élections, encore deux jours pour déclarer la guerre mais laisser Sancho prononcer le mot honteux de "confinement"  diffuser lentement un projet de loi qui repousse l'échéance encore à un vote d'extrait des parlementaires masqués et en attendant déclarer l'état d'urgence et assurer les tours de Military Police pour contrôler les Ausweis à présenter aux guichets des villages gaulois. Avant d’empêcher tout déplacement.

    Guerre sanitaire, guerre économique et financière, alors bientôt guerre politique?

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