De transition en changement, modification ou révision, les plans n'arrêtent pas d'être transformés ou adaptés selon les ambitions des élus. Les concertations qui n'ont de préalable que leur présentation déjà bien ficelée, juste avant le début d'une enquête publique, sont préparées en comités secrets, commissions restreintes à quelques élus déterminés et soigneusement "drivées" par des cabinets d'experts choisis sur leur adéquation aux vues de ces leaders, avec les moyens mis à leur disposition par les collectivités.
Ces projets ambitieux - certains les ont baptisés "Éléphants Blancs" - sont lancés par ces édiles pour leur gloire et leur visibilité sur des fonds publics, souvent sans vraie consultation des souhaits de leurs ouailles, avec des risques qu'ils n'auraient pas le courage d'assumer, s'ils avaient à engager eux mêmes les dépenses.
Donc, se croisent pendant cette période de gel des esprits, de concentration des citoyens dans tous les pays, sur l'essentiel: la vie, la santé, le travail et parfois la survie économique, de nouvelles perspectives de développement, toujours dans le sens a retardement de ce qui se faisait "AVANT" sans prendre en compte la situation effective et l'économie d'après.
Les plus opportunistes créent même de nouvelles structures sous le motif du "changement" de la "transition" de Plan Climat, de subventions pour une cause (isolation) , de subvention pour une autre (particules fines ou CO2) ..., éviter la juste contribution par une optimisation fiscale exagérée. Alors que planent tant d'incertitudes sur le simple fait des déséquilibres des plaques structurantes de la planète. A peine envisagée une "certaine reprise" d'après confinement ??? Ouvertures signifiant consommation, que certains envisagent l'après guerre ( WWI, seconde? ), et la reconstruction, en se souvenant des années 20. On oublie les révolutions d'après 1918 dans les pays vaincus ou désarticulés, les répressions , la crise en une décennie, l'arrivée d'une nouvelle menace des libertés, finalement le conflit suivant.
Mais sur le Val d'Europe, on ne pense que prendre le pouvoir pendant que le loup n'y est pas. S'endetter sur une illusion d'activité touristique possible, alors que de toute part les autocraties s'amplifient, le déterminisme d'atténuation des excès de richesse fait chorus, les concurrences ont de grandes chances de se heurter aux freins des pouvoirs pour contrôler leurs exportations de devises.
Au Val d'Europe ce ne sont pas moins que 4 concertations simultanées où sont conviées les populations, alors que tout échange est entravé, et surtout nous le répétons les esprits sont ailleurs.
Est-ce bien raisonnable? Est-ce bien simplement démocratique
Dernier affiché: [Concertation R.L.P.I.]
Commentaires
Dernières étapes pour la finalisation du RLPI : l’arrêt en conseil VEA et la validation par le Préfet.
En janvier responsabilité complète des élus locaux pour leur police.
On se demande de quel statut dépend les "préaffiches" support en planches sous forme de fléchage, posées sur du mobilier urbain (poteaux, lisses de protection des trottoirs).
Qui donc permet aussi les annonces de campagne "octobre rose" sur des panneaux de certaines habitations en mettant bien en évidence la sponsorisation par un agent immobilier. Profiter d'une campagne de santé publique pour une pub est-ce moral? Et compatible avec le règlement actuel?