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Notre site enfin cité.

Verlaine pour défier la pauvreté avait osé le vieux Français.

Notre richesse, fondée sur l'intérêt de libre expression, s’amplifie de se voir ciblée par des moyens exagérés.

Au temps des Gilets-Jaunes, Coupvray a des soucis de ComPol, de conflit d’intérêt voire de népotisme.

Ainsi la lecture du Compte-rendu du Conseil Municipal du 28 novembre, affiché je ne sais quand, mais tout juste apparu (hier bien tard) sur le site municipal (est-ce pour ne pas attirer notre attention?) convie les représentants des Cupressiens à financer la procédure juridique de l'un de ses membres. 

Aux petits "mots" les grands moyens, peuchère on appelle les gueux contributeurs par leurs impôts locaux à rembourser les émoluments de grands avocats, sûrement considérables car la tâche doit être ardue, pour affirmer qu'un commentaire déposé rageusement sur un vieil article de ce blog est une tellement fausse information qu'il se trouve être une injure ou pire une diffamation d'un prétendant expert en gestion de patrimoine et agent commercial en gros et en immobilier. (*1) Une délibération pour assurer la "protection fonctionnelle" d'un conseiller  délégué déjà indemnisé pour ses missions et sa fréquentation régulière de la maison commune. (*2).

Si la mairie dans son CR CM (et déjà dans la diffusion de l'ordre du jour dans la convocation - d'habitude rarissime comme on l'a souvent réclamée ici) donne le nom de la victime supposée, elle ajoute le nom de notre blog et reconnaît pour une fois que quelques conseillers en prennent connaissance ce qui déjà mérite notre remerciement. Il est toutefois regrettable de ne pas avoir distribué le texte litigieux aperçu le 13 octobre ce qui aurait été bien utile à tous pour juger de l'ampleur de la faute. Ne pas préciser les démarches vis à vis du site, ou de l'hébergeur ou directement à l'administrateur fautif supposé car anonyme (*4) mais identifié depuis longtemps par bien des conseillers ne serait-ce que "des minoritaires" ou de Polichinelle. Et plus subtil, signifier que cette protection par ce vote est générale et sera assurée à "tous les conseillers" et agents quel que soit l'objet de la mise en cause en "fonction du besoin" ce qui pourrait se comprendre comme un achat de voix. (Ce qui pourrait justifier un refus par le contrôle de légalité préfectoral?)

A première lecture on pourrait presque comprendre qu'une telle procédure serait du niveau de l'intimidation, de la menace, en fait une tentative d'obstruction à la continuation de l'existence des propos échangés tant dans les chroniques que dans les commentaires sur le blog dont le nom exact est "Coupvray-unofficiel.info".

 

J'avoue, la gestion, l'administration de ce blog débuté en Août 2012, sous le nom de Pierre Mousse (*3) pour donner une chance de partage d'autres expressions des idées et des courants de réflexions de citoyens de Coupvray au niveau communal ou intercommunal à titre gracieux sans objectif de rentabilité ni de recherche d'honneur, a parfois quelques contraintes de temps, d'humeur, de mauvaise humeur ...  

 

L'auteur sous pseudo "Marc-Antoine" du commentaire, probablement outré par la lecture du flyer publicitaire déposé dans sa boite postale, et en mémoire de comportements antérieurs largement connus d'anciens habitants, s'est-il comporté en "lanceur d'alerte" amateur en déposant son apostrophe rapidement léchée?  Absent en cette période et non destinataire du bulletin publicitaire, ce commentaire posé sur un très vieil article n'était de toute façon pas mon sujet d’intérêt majeur axé sur l’enquête publique de modification du PLUI. C'est donc en revenant de séjour que j'ai croisé le conseiller père du prospecteur qui semblait préoccupé au point de me faire grise mine. Contactant une amie pour m'informer elle m'a porté le flyer, l'information du commentaire qui y faisait référence, le lien possible avec l'humeur du conseiller à mon encontre. 

J'ai donc lu le flyer, consulté le vieil article (appuyé par des coupures de presse) et son commentaire. Il faut bien avouer encore qu'à première lecture, rien ne m'a paru exagéré ou faux dans ce qui était "lancé". La référence à l'expertise ancienne (depuis 1999) ne pouvait que réveiller les anciennes prestations pour d'anciens footballeurs esblygeois, ou d'anciens clients des agences où il avait exercé, sinon par la date plutôt celles de son père. Ayant personnellement croisé tant à la mairie au service urbanisme, que dans une nouvelle agence immobilière d'Esbly le conseiller père, connaissant son implication dans tout évènement organisé par le CCAS dont il est le premier élu actif auprès des personnes âgées, il ne m'a pas semblé nécessaire de censurer la présence de ces remarques.

Averti indirectement une nouvelle fois de la gène provoquée, j'ai relu attentivement le commentaire, pour être exacte l'écriture ne ménageait toutefois pas un doute pour ce qui était une relation père-fils, n'étant pas missionné en urbanisme son implication n'est pas certaine dans les dérogations supposées, j'ai donc décidé d'adresser un mail à l'auteur l'avertissant de l'effacement du commentaire. Aucune procédure telle que décrite dans l'à propos du blog, message, ou message auprès de l'hébergeur n'a été opérée. Par ailleurs ce n'est que le 23 octobre qu'une légère augmentation de fréquence de visites a été mesurée. Par contre davantage de pages sont parcourues, certains jours avec de réelles grosses quantités. Craignant une exploitation de textes anciens peut-être comportant des articles d'informations qui pourraient être imprimées voire être déformées, j'ai décidé de couper provisoirement l'accès au site, le temps pour moi de mettre en place une modération des commentaires avant leur diffusion, et l'allègement du site afin d'en assurer une meilleure surveillance, beaucoup des auteurs n'étant plus actifs avec moi.

 

 Revenons à Verlaine, dans "Chansons pour elle", sur la pauvreté il déclame:

La pauvreté, notre compagne,
dont nous nous serions bien passés,
Vainement menait la campagne
Durant tous ces longs mois glacés...
      Nous incaguions l'intruse,
      Son astuce et sa ruse.

 J'appliquerais volontiers cette injonction à la censure sourde qui a menacé la liberté de dire sur ce blog, dans le sens tant historique qu'originel comme l'entendait probablement Verlaine.

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Pour ceux qui voudraient comprendre pourquoi (à mon avis) il est malsain et risqué de mêler un rôle "fonctionnel" d'élu ou agent d'une collectivité avec les rôles d'intermédiaires en commerce immobilier, il suffit de comprendre diverses définitions de suspicions possibles:

Avoir connaissance de projets de zonages urbains, participer aux négociations, commissions ... consulter les documents en cours d'instruction,  n'est-ce pas donner une possibilité d'influence, de conseils, recommandations et en tirer des avantages  comparables au "délit d'initié"  quand il s'agit de bourse?

Avoir des informations "de première main" et être en capacité d'en faire profiter son entourage , volontairement, par imprudence ou avec contrepartie, est-ce du "népotisme"?

Accepter une mission de soutien aux populations fragilisées dans le cadre du CCAS, et perpétuer des actions de négociations, achat ou vente et financement de patrimoines  dans le cadre de travaux directement ou indirectement rémunérés, mais prouvés dans diverses sociétés, ne touche t-il pas au "conflit d’intérêt" ou à la prise illégale d'intérêt?

Tout cela entraînant par ignorance ou naïveté, mais toujours en inconséquence un doute sérieux sur la confiance que de faibles signaux ne peuvent que détruire. 

 

Une discussion plus experte sur l'usage des petits cadeaux qui par recel nuisent à  l'intégrité des élus et agents des organismes publics est à lire dans cette vidéo du cabinet Eric Landot. Ces recommandations de prudence s'appliquent particulièrement aux tentations d’intéressement mises en avant en particulier pour les "apporteurs d'affaires" du milieu immobilier et gestionnaires de patrimoine.

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Screenshot_2018-12-13 VERIF fiche d'information entreprise  christophe lasmier.png*1/  D'après le flayer distribué Ape:4619B = "Autres intermédiaires du commerce en produits divers" Coté face: Un agent immobilier Indépendant (Pas une agence mais un intermédiaire sans adresse affilié à un "réseau" conseillé/formé par des diplômés notaires).  Coté pile: un courtier-conseil en patrimoine et opérations financières affilié à un autre réseau.. avec des explications toutes simples.

*2/  La présence doit être facilement prouvée, il suffirait de demander le témoignage de l'agent d'accueil, ou la préposée à l'urbanisme qui ont dû fréquemment retarder des rendez-vous et ont reçu des remarques à ce propos.  

*3/ Pourquoi l'anonymat sur ce site? Anonymat

 *4/ Et si vous n'avez pas bien compris pourquoi il faut se méfier de conseillers, petits guides à lire. Par prudence évidemment, nous avons constitué avec l'aide d'un cabinet d'avocats spécialisé dans la défense de la liberté d'expression, le dossier de défense contre cette accusation qui à ce jour ne nous a toujours pas été signifiée.

*5/ De la liberté d'expression fraîchement respectée.

Ajout du 7/2/2019 Textes sur la protection fonctionnelle.

Ajout du 9/2/2019 le flyer ayant été critiqué par un commentaire à l'origine de cette accusation de "diffamation".

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 Ajout 2 avril 2019: suite à réception d'un tweet sur l'anonymat sur Internet

"rapport du haut commissariat aux droits de l'homme de l'ONU sur l'anonymat sur internet que clairement aucun membre du gouvernement actuel n'a lu." extraits:

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Commentaires

  • Il me semble que dès lors qu'une rubrique commentaire permet au prétendu diffamé de répondre il ne peut être critiqué l'absence de réponse de l'auteur du blog à une demande de rectification. Cherchez le décret correspondant.
    Philippe ROY

  • Bonjour, l'ami. Par prudence , et ne voulant aucun conflit effectivement j'ai préféré ôter le commentaire. Un avocat consulté m'a effectivement rassuré sur la notion, car pour être diffamatoire encore faut-il que ce ne soit pas des faits réels qui sont proclamés. Le tract manque de clarté, d'adresse et de numéros légaux, ce qui est dangereux comme démarche vis à vis de populations relativement fragiles, le syndicat de l'immobilier consulté ainsi que le site Orbias m'ont confirmé l'illégalité. Aucune plainte n'a à ce jour été reçue d'après mon hébergeur, il semble bien que les élus qui ont voté sont bien naïfs.

  • Dans le livre d'Olivier Roland:
    Il est important de noter qu’au préalable à l’exercice de l’action en justice, à l’encontre de la personne présumée auteur de la diffamation, la personne désignée dans les propos incriminés peut faire publier une réponse sur le site Internet de l’auteur. Il s’agit de ce qu’on appelle le droit de réponse. L’exercice de ce droit vise à faire cesser ou réduire le préjudice subi par la victime de diffamation.
    Une procédure stricte est à respecter (le Décret d’application du 24/10/2007 détaille la procédure à suivre : pouvoir prouver l’envoi et la réception de la demande, la lettre doit contenir les références du contenu contesté, la réponse doit être écrite et de même longueur des propos au moins).

    Le blogueur accusé persuadé de la licéité du contenu peut engager une procédure de « délit de notification abusive d’un contenu illicite ».

  • Il y a prévu ce soir au conseil municipal, la validation du CM du 28/11/18. Ce sera peut-être l'occasion d'une rectification et d'un complément d'explication. Le décret que vous mentionnez ci-dessus, indique précisément : "La procédure prévue par le présent décret ne peut être engagée lorsque les utilisateurs sont en mesure, du fait de la nature du service de communication au public en ligne, de formuler directement les observations qu'appelle de leur part un message qui les met en cause". Affaire close je crois.

  • Et si vous faisiez une cagnote sur Ullule pour financer une procédure contre les élus du conseil pour vous avoir mis en cause? Déjà une réclamation des documents justificatifs remis aux conseillers et de contrôle à la préfecture? Car la seule communication sur la publicité est basée sur son nom, pur hasard? Soutien à vous.

  • Merci. Vous avez pu constater que les commentaires sont modérés depuis novembre et le moment où j'ai reçu l'avertissement de conseillers. Dernièrement de nombreux commentaires ont été adressés, certains que j'ai choisi de ne pas laisser afficher. Pour répondre à ces attentes, je complèterai cet article avec le flyer en question.

  • Chers conseillers, vous vous lancez dans une entreprise risquée qui me rappelle ce conte oriental : Un loup et un âne qui se querellent viennent voir le lion, roi des animaux, pour les départager. Le lion ne les laissent pas exposer leur litige et donne raison à l'âne. 1/2
    Le loup proteste : - "Sir, comment pouvez-vous donner raison à l'âne sans m'avoir écouté ?" - "Cela t'apprendra a débattre avec un âne, déclara le lion comme toute explication." 2/2

  • Superbe commentaire et tellement approprié. Bien sùr, tous les connaisseurs ont bien reconnu l'âne

  • Merci de nous détendre un peu. Si vous avez les références du conte on est preneur! Peut-être placez-vous les conseillers comme les puissants qui demandent à la préfecture supposée être le Lion (sinon au Procureur si on lui présente la plainte) à mettre fin au actions d'expressions critiques permises par notre Blog? Ou est-ce la victime supposée qui est le loup, mais laquelle ? la Mairie soutien le père mais n'est-ce pas le fils qui a déclenché le commentaire?

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