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censure

  • Où sont les masques

    Ce 1er avril nous empoisonne, Vrai ou fausse nouvelle?

     

    Ne croyons pas Twitter, défions nous de Facebook, et regardons avec prudence la télévision.

     

    Lire un quotidien? non sur papier puisque franchement justifier par un déplacement indispensable l'achat de sa feuille de choux, ça ne vaut pas la peine de tenter la confrontation avec un agent pathogène non masqué. Le lire en numérisé sur PC ou tablette, voire se crever les yeux sur son smartphone suffira, pour comprendre que ça tourne à peu de chose, vraiment peu même, puisque la chose est invisible.

     

     

     

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  • Notre site enfin cité.

    Verlaine pour défier la pauvreté avait osé le vieux Français.

    Notre richesse, fondée sur l'intérêt de libre expression, s’amplifie de se voir ciblée par des moyens exagérés.

    Au temps des Gilets-Jaunes, Coupvray a des soucis de ComPol, de conflit d’intérêt voire de népotisme.

    Ainsi la lecture du Compte-rendu du Conseil Municipal du 28 novembre, affiché je ne sais quand, mais tout juste apparu (hier bien tard) sur le site municipal (est-ce pour ne pas attirer notre attention?) convie les représentants des Cupressiens à financer la procédure juridique de l'un de ses membres. 

    Aux petits "mots" les grands moyens, peuchère on appelle les gueux contributeurs par leurs impôts locaux à rembourser les émoluments de grands avocats, sûrement considérables car la tâche doit être ardue, pour affirmer qu'un commentaire déposé rageusement sur un vieil article de ce blog est une tellement fausse information qu'il se trouve être une injure ou pire une diffamation d'un prétendant expert en gestion de patrimoine et agent commercial en gros et en immobilier. (*1) Une délibération pour assurer la "protection fonctionnelle" d'un conseiller  délégué déjà indemnisé pour ses missions et sa fréquentation régulière de la maison commune. (*2).

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