Finalement de calendrier, point, une date tout au plus, c'est ce qui ressort de ce discours de notre président.
Comme malheureusement on pouvait le craindre, il n'est pas possible dans la situation, tant en France qu'à tout autre endroit de la planète où il y a des hommes, de prévoir à quelle date il sera sûr de ne pas contracter l'infection du Coronavirus chinois.
Après avoir décalé de deux minutes d’applaudissements le début de la prestation destinée à 36 millions d'auditeurs tout ouïe et impatients, prêts à croire aux miracles, avec les circonvolutions nécessaires, pour assumer les erreurs, remercier les soldats partis ou maintenus au front, la parole fut tenue.